Une conclusion s’impose
Ce soir, c’était repas de Noël dans un restau rue Drouot, offert par ma boîte. Bouffe très correcte, largement arrosée d’alcools divers et variés, le tout suivi d’un after directement dans l’appart de mon vénéré big boss. Ce qui m’a permis de constater par exemple que le technical director, quand il a un peu bu, s’endort comme une vieille épave chez le big boss en question, sur le canapé. Que finalement je tiens encore pas trop mal l’alcool. Que mon big boss a chez lui des albums de Radiohead, Emilianna Torrini et Death In Vegas, et que c’est donc un très bon big boss, pas changer boulot, pas changer big boss.
Sur ce, je m’en vais essayer de cuver un brin: demain, il paraît qu’on travaille.