Fire, fire, fire !
Arrivée à Montparnasse avec 25 minutes de retard. Merci le TGV ! Coup classique : il passe 3 métros (bondés) dans la direction inverse à celle dans laquelle je vais. Forcément, ceux-là vont vers le Trocadéro, il est 21h40. Arrivée au foyer vers 22h15, je fais le plus rapidement possible pour ranger quelques affaires, boire un coup, et sauter dans un nouveau métro pour me rendre sur le Champ de Mars rejoindre les autres.
Il est presque 22h30. 3 métros passent dans le sens inverse avant que j’en aie un (décidément…). La rame se remplit de plus en plus au fur et à mesure, on dirait que les gens ne sont pas au courant que la station Trocadéro est fermée au public. Je descends tout seul (alors que le métro est plein à craquer) à Richelieu-Drouot (en contenant difficilement une envie démangeante de faire un DDR) pour changer de ligne. Pour une fois, mon métro est le premier à arriver. Sortie à la station École Militaire, le Champ de Mars est noir de monde. Retrouver les autres tient quasiment de la mission impossible. Je me rends le plus rapidement possible au lieu de notre précédent pique-nique, mais même là c’est difficile, tout le monde est assis, je ne les vois pas. Finalement, quelques minutes après le début du spectacle (et après le discours d’un intermittent du spectacle, sur lequel je reviendrai dans un post suivant), tout le monde s’est levé et j’ai pu m’engager un peu plus vers le coeur de la pelouse… pour tomber sur les potes de l’étage !
Une fois le spectacle pyrotechnique (plutôt réussi) terminé, nous partons le plus vite possible vers une ligne de métro. La 13 a l’air de rouler encore, mais ça ne nous arrange pas des masses. Nous tentons la 1, seul Gérald arrive à s’engouffrer dans la rame bondée. Nous rentrerons à pied ! Champs-Élysées – Charonne à pied, heureusement il faisait beau, et ma nuit de repos put débuter à 3h pour s’interrompre à 7h.
Fatigué, je vous dis.