Pour qui sonne le glas
C’est la fin d’une aventure. Je me sens un peu perdu, j’ai égaré une partie de moi. Quand on passe de deux à six jours par semaine dans un endroit merveilleux pendant près d’un an et que l’on apprend que cet endroit va disparaître, l’instinct de survie reprend le dessus. On a le sentiment de perdre un ami.
Je crois que je n’ai jamais autant compris ce poème appris en 3ème, en cours d’anglais:
« No man is an island, entire of itself; every man is a piece of the continent, a part of the main. If a clod be washed away by the sea, Europe is the less, as well as if a promontory were, as well as if a manor of thy friend’s or of thine own were. Any man’s death diminishes me, because I am involved in mankind; and therefore never send to know for whom the bell tolls; it tolls for thee. »
John Donne – For whom the bell tolls
Commentaire de Pomme
20/6/2006 @ 10:14
Putain :| Et dire que si j’avais été moins flemmard (et moins lié aux transports en commun)…