L’abeille ? Non, l’autre.
Les gens avec qui je discute blogs parfois savent déjà (oui, je discute blogs avec des gens parfois, mais j’ai une vie sinon, vous inquiètez pas pour ça, et puis d’abord occupez-vous de vos affaires), ces gens donc savent déjà que je ne suis pas particulièrement fan de Anne Dutilleul. Euh, de Maïa Mazaurette, pardon. Pas qu’elle m’ait fait quelque chose en particulier ou que je lui en veuille sur un quelconque sujet, non c’est juste que ce qu’elle écrit ne m’a jamais particulièrement enthousiasmé, son blog je le survole parfois et je n’accroche pas, j’ai feuilleté son premier bouquin sans grande conviction, moui, bon, c’est pas mal, mais non, j’accroche pas, tant pis. Je ne me suis donc pas jeté sur Le pire est avenir quand il est sorti, je le lirai peut-être un jour, peut-être pas, je n’ai rien à dire sur ce bouquin. Contrairement à d’autres, qu’apparemment ça ne gène pas trop. Pas que je ne parle pas du bouquin, non, mais d’en parler sans l’avoir lu.
Édifiant. Ce ne sera pas la première fois que j’assisterai à un lynchage à la télé, mais venant de Bern je suis surpris. Un seul mot pour la demoiselle: courage. Et comme dirait l’autre, « Vous regardez trop la télévision, bonsoir. »