We meet again, Mr. Freeman

Dans la catégorie: Geekeries,Hardcore gaming — kwyxz le 22/10/07 à 23:45

Quelques heures et un downgrade de Wine plus tard, je suis heureux. L’installation de l’Orange Box en elle-même est très simple. On insère le 1er DVD, on installe Steam, piece of cake.

Ensuite on lance Half-Life 2 et on croise les doigts très fort pour que ça rame pas trop. Flip: l’écran de présentation rame à donf. On lance le jeu et… ça plante. Deg de chez deg. J’étais sur le point de récupérer un vieux disque dur IDE et le mettre dans ma tour pour y installer un Windows mais je suis allé jeter un oeil sur l’appdb Wine: apparemment il y a un problème de régression dans les dernières versions, à savoir les 0.46 et 0.47. Je suis repassé en Wine 0.44 et j’ai relancé le jeu, inquiet.


Ça marche, et bien, très bien même. Quasiment tout à fond sauf les effets de flotte (je verrai quand je serai dans un coin où il y en a). FSAA x4 et filtre anisotropique x8, c’est fluide et c’est beau. Un pur bonheur. Probable que ça serait encore mieux sous Windows, mais ça me fait vraiment trop trop chier de me prendre la tête à ça pendant 3 plombes.

Ensuite, l’inquiétude: Team Fortress 2. Est-il plus gourmand que HL2 ? Si ça rame online, je suis foupoudav.

Aucun problème. J’ai même pu augmenter les détails par rapport à la config recommandée. Bref, l’Orange Box sous Wine, c’est du tout bon. Mangez-en !

Config de mon test: Athlon XP 2600+ à 1921 MHz / 2 Go RAM / GeForce 7800 GS / Linux Debian Sid / Drivers nVidia 100.14.19

Die Hard Super Mario Bros.

Dans la catégorie: Hardcore gaming — kwyxz le 22/10/07 à 0:07

Un hack de Super Mario Bros. abominablement difficile, un level design d’un sadisme à toute épreuve et un commentateur pas si mauvais qui expérimente bien malgré lui toutes les façons de mourir. C’est un raffinement d’esthète, un plaisir assez difficile à apprécier si on n’a jamais joué à Super Mario Bros. de sa vie, mais c’est à mourir de rire sinon. Premier niveau, et second niveau. Jamais le terme hardcore gaming n’aura été aussi approprié. Enjoy.

Merci à Egie pour les liens.

Plus l’attente est longue…

Dans la catégorie: Hardcore gaming — kwyxz le 17/10/07 à 19:08

Voilà, ça y est. Il a enfin été annoncé, le jeu qui va me faire acheter une nouvelle console.

FJV 2007

Dans la catégorie: Hardcore gaming — kwyxz le 24/09/07 à 0:35

Invité par GameKult en ma qualité de membre Premium (waouh) à l’édition 2007 du Festival du Jeu Vidéo, c’est donc ce dimanche que je viens assister à la conférence qui me tient le plus particulièrement à coeur, celle sur le retrogaming. J’arrive un peu en avance ce qui me permet de faire un premier tour du salon, je tombe par hasard sur Pivwan qui me propose de tester le dernier projet en date de Richard “Lord British” Garriott (créateur de la série des Ultima), à savoir Tabula Rasa. C’est une sorte de jeu d’action multijoueurs online avec des éléments RPG (levelling, quètes) se déroulant dans un univers futuriste mettant en scène des héros humains en guerre contre une race extraterrestre. Difficile d’en dire long sur le scénario après n’avoir joué que 30 minutes, mais le tutoriel est plutôt bien foutu et le jeu se prend bien en main. Par contre, ça ramait sec sur ma machine de test que j’imagine assez récente, autant dire que pour l’instant tout le monde ne pourra pas y jouer.
L’heure de la conférence approchant, je repose mon casque et me dirige vers l’espace réservé puis m’installe non loin de la scène. La conférence consiste en une interview de l’illustre Frédérick Raynal (créateur des mythiques Alone in the Dark et Little Big Adventure 1 & 2) par le non moins illustre David Téné, le premier reporter freelance de la presse jeu vidéo française. Raynal raconte ses débuts, comment il a acheté son premier ordinateur (un ZX-80 de Sinclair) en kit et l’a monté lui même, parce que ça coûtait deux fois moins cher qu’en un seul morceau, quelles ont été ses influences et principaux souvenirs (Marble Madness semble avoir profondément marqué Frédérick), pourquoi il a diffusé son célèbre casse-briques PopCorn en freeware, comment il est arrivé chez Infogrammes, comment il a quitté Infogrammes pour fonder Adeline Software devenu ensuite NoCliché, et comment il est finalement arrivé chez Ubi Soft. Le tout est dynamique, très intéressant, didactique, et l’on ne peut que rester admiratif devant le parcours du Monsieur.
Arrive la séance de questions, je me lance et lui demande ce qu’il a pensé lorsqu’il a découvert le premier Resident Evil, est-ce qu’il était admiratif, ou bien écoeuré par le plagiat manifeste, il répond qu’il pencherait plutôt du côté de la seconde réponse, qu’il était assez furieux de voir à quel point Resident Evil avait pillé Alone, et on ne peut que difficilement lui donner tort. Un peu plus détendu lorsque je lui demande ce qu’il a pensé du film Alone in the Dark réalisé par l’incomparable Uwe Boll, il m’avoue ne pas avoir été directement impliqué dans le projet et trouve le film catastrophique. Il faut dire qu’à part Boll lui-même, je pense que tout le monde partage cette opinion. Je lui serre la main à la fin de la conf, parce que quand même, PopCorn reste le premier jeu en couleurs auquel j’aie joué sur PC… c’était en 1990, à l’atelier informatique du collège, et ça ne nous rajeunit pas tout ça.
Je décolle direction l’espace réservé au retrogaming, il y a là plusieurs bornes d’arcade (notamment un Hokuto no Ken qui n’a pas grand-chose de rétro, mais soit) et des vieilles machines, une console Pong, une VCS, et dans un coin trône un inimitable Virtual Boy. Un brin excité par la chose puisqu’elle fait partie des rares consoles auxquelles je n’ai strictement jamais touché, je m’approche et la place se libère quasi instantanément. Pour les ceusses qui n’auraient jamais entendu parler du Virtual Boy, il s’agit de l’un des plus gros échecs commerciaux de Nintendo et surtout de son créateur, Gunpei Yokoi, par ailleurs père du Game Boy. Le Virtual Boy est une sorte de casque de réalité virtuelle posé sur trépied doté d’un processeur RISC 32-bits et capable d’afficher de la vraie 3D, dont la principale particularité était de proposer un effet de relief assez saisissant sur les jeux. Revers de la médaille: les jeux étaient en monochrome rouge d’un goût discutable, et surtout il était assez difficile de jouer durant plus d’une heure sans ressentir, selon les joueurs, douleurs oculaires, maux de tête, voire sérieuses envies de dégueuler. Intrigué donc, je m’installe et colle mon front sur le casque pour commencer une partie de Wario Land. L’effet de relief est magnifique et parfaitement rendu, les graphismes un peu quelconques: c’est du Wario Land classique avec du scrolling parallaxe pour l’effet de relief et un fond noir, les commandes répondent bien, je m’amuse environ quinze minutes, puis il me faut arrèter: je vois flou. Voilà, le Virtual Boy vient de me tuer les yeux. Ouille.
Je croise sur le stand David Téné avec lequel je discute une quinzaine de minutes, nous discutons de notre histoire de joueurs respectifs et de notre parcours, une fois de plus je me demande pourquoi je n’ai jamais tenté ma chance en tant que pigiste pour la presse jeux vidéo. Ma foi. Un jour peut-être…
Je file sur le stand FNAC pour une petite partie de Guitar Hero II avec l’un des animateurs du stand, la partie est agréable et très serrée, il gagne de très peu mais il gagne quand même. Je redescends retrouver Nacara qui assistait à la conférence sur le “jeu vidéo et développement de l’enfant”, et nous faisons rapidement le tour des stands, un passage au stand du Guide du Jeu Vidéo pour discuter avec Pierre Gaultier, et nous partons à la recherche du stand proposant de tester une version beta de Guitar Hero III. Après plusieurs détours, nous finissons par trouver une borne à peine mise en valeur proposant donc de goûter, en allemand, à ce futur opus. Je choisis Even Flow de Pearl Jam en mode difficile, et les notes s’enchaînent, visuellement ça n’a pas trop changé, le jeu semble un peu facile, je termine les doigts dans le pif ce qui pour une première tentative est assez étonnant, bref nous verrons bien une fois le jeu sorti, reste que la playlist est, NAAST et Superbus mis à part, de qualité. Je vois une borne de Sega Rally derrière moi et fais une petite partie, ma bagnole est une véritable savonette, difficile au premier abord, après quelques tours je m’en sors mieux mais je suis toujours un peu une quiche. Nacara se sauve, je me promène au milieu des stands, les hôtesses Samsung sont ravissantes, Rainbox Six: Vegas sur PS3 est moche et rame sur le stand Ubi, Heavenly Sword est joli mais saccade sur le stand Playstation, je n’aime pas PGR4 sur le stand Xbox 360, strictement aucun des jeux Wii présentés ne me file ne serait-ce qu’une demie-molle, je me pose au stand Philips où des parties de Quake 4 en deathmatch sont organisées. Difficile de jouer debout, je perds toujours à quelques frags près des membres du crew Philips, je demande une chaise et là bizarrement je leur fous des grosses branlées. Content de ne pas avoir trop perdu la main, je repars et tombe sur une autre borne de démo Sega Rally, le circuit est différent et surtout je peux choisir ma caisse, avec une Subaru Impreza c’est plus facile et je termine premier de la course: ce jeu est quand même super chouette quand on aime la conduite arcade, probable que je me l’offre quand j’aurai une next-gen.
Le salon ferme, j’ai passé un après-midi agréable et en plus je n’ai pas payé l’entrée, vraiment content, fort probable que j’y retourne l’année prochaine. Du tout bon donc. C’était le relou de NonWii, à vous les studios.

Game different

Dans la catégorie: Hardcore gaming — kwyxz le 18/09/07 à 16:24

<Ute> para para paradise ça me dit kekchose
<Trem_r> c’est le jeu où tu dois faire plein de saluts nazis

XD

Légendes de mon cul

Dans la catégorie: Hardcore gaming,Humeur,Monte le son — kwyxz le 23/08/07 à 11:44

Je viens d’apprendre via Joystiq que les deux groupes qui représenteront la scène française dans Guitar Hero 3: Legends of Rock sont Superbus et Naast.

J’ai envie de mourir.

Je vous laisse, je vais me pendre avec une Wiimote.

Niveau zéro

Dans la catégorie: Hardcore gaming — kwyxz le 16/08/07 à 23:19

Je suis en train de regarder l’émission Level One consacrée à King of Fighters XI sur PS2. L’animateur enchaîne connerie sur connerie depuis plusieurs minutes, fait montre d’une inculture crasse et d’une incompétence profonde. Il est tellement à la rue concernant la baston 2D en général et la série des KoF en particulier qu’il n’a rien à dire et est en train de meubler en racontant strictement n’importe quoi. Au bout de dix minutes d’émission, il est en train de présenter du thé japonais et des confiseries à base de riz. Et il conclut avec “bon bin King of Fighters derrière on s’en fout un peu, ça intéressera 3 dinosaures et on fait pas de la télé pour 3 mecs”.

Je crois que je n’ai jamais autant hurlé MAIS TA GUEULE PUTAIN TA GUEULE à ma télé. Ce type est un véritable appel au meurtre. Une incitation à la violence. Une putain de tête de con.

Dieu de la Guerre

Dans la catégorie: Hardcore gaming — kwyxz le 7/08/07 à 2:18

Je viens d’éteindre la console après tr… merde, quatre heures de God of War. Il était à 20 Euros à Virgin, je n’ai pas hésité longtemps au vu des critiques élogieuses qui ont accompagné la sortie de ce titre ainsi que celle de sa suite.

Que dire de God of War ? Que c’est probablement l’un des plus beaux jeux que j’aie jamais vu, qu’il enterre visuellement Twilight Princess ou Resident Evil 4 avec ses décors antiques magnifiquement bien restitués, qu’il m’a scotché avec ses effets de lumière fabuleux, sa maniabilité au poil, sa difficulté assez bien dosée, son animation qui ne souffre pas d’un seul ralentissement, son déroulement qui ne prend jamais le temps d’un loading, sa musique orchestrale qui accompagne fantastiquement l’action et enfin son ambiance, tellement prenante et exaltante. C’est le pied putain, le mégapied, un pied comme je n’en avais pas pris depuis un moment. Vivement que le second passe aussi en platinum, il paraît qu’il est encore meilleur.

Ah au fait, c’est un jeu PS2 de 2005. Je ne suis vraiment pas pressé de passer à la génération supérieure, moi…

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