Consider divorce
Désolé Barbichou mais c’est la machine qui le dit.
« “Nous allons aider vos marques à faire partie des conversations quotidiennes” entre les membres, a déclaré Mark Zuckerberg, le tout jeune PDG et fondateur (23 ans) de Facebook, dans une lettre aux annonceurs révélée par la presse américaine.
(…)
Les annonceurs se réjouissent : la publicité “ultra-ciblée” est leur Saint-Graal, elle promet une efficacité maximale. Mais les internautes joueront-ils le jeu ? »
Alors subir une pub de merde maintenant ça s’appelle “jouer le jeu”, ahah bin nan, à coups d’antispam, de popup-blockers, d’extensions Firefox et de blocage de scripts, on va leur niquer la gueule, comme d’hab.
Clubic revient sur le dernier album de Radiohead que, selon une étude publiée par ComScore, 62% des téléchargeurs auraient récupéré sans donner le moindre centime au groupe. « Seulement 5 à 6% des internautes auraient décidé de payer entre 4,01 et 8 dollars pour cette création musicale »
En parallèle, ils rappellent le succès de l’album sur BitTorrent le jour de sa sortie, alors que l’album était récupérable directement (et, éventuellement, gratuitement) sur le site du groupe et tentent de trouver des explications rationelles à ce phénomème: « Les raisons de ce comportement des internautes peut s’expliquer de plusieurs façons. Tout d’abord, le site de Radiohead demande un certainement nombre de renseignement pour pouvoir s’enregistrer et télécharger l’album (nom, adresse email, téléphone … – voir photo ci-contre) qui peuvent paraître un peu rébarbatif / intrusif. Ces renseignements devaient être utilisés par RadioHead pour communiquer sur leurs prochaines opérations (concerts, sorties diverses, marchandising…). Ensuite, le raccourci « l’album de RadioHead est gratuit, je peux le télécharger depuis n’importe quelle source » a rapidement été fait dans la tête d’un certain nombre d’internautes. Il faut dire que depuis quelques temps, certains artistes / labels proposent eux aussi de la musique gratuite via BitTorrent ou P2P et ces opérations ont parfois amené une certaine confusion dans l’esprit des internautes. »
La vraie raison est évidemment bien plus simple et même évidente: les internautes sont des gros cons.
Après plusieurs heures de labeur, et pour fêter le 5ème anniversaire de ce blog (eh oui, novembre 2002…) je suis heureux de vous annoncer la naissance de mon nouveau bébé destiné à parler exclusivement de jeux vidéo: Gaming since 198X. Évidemment pour l’instant, le contenu est un brin famélique, mais tout ceci va s’étoffer au fil des mois, et durer au moins aussi longtemps que la présente colonne, je l’espère, puisque le but est d’en remplacer progressivement la rubrique “Hardcore gaming”.
Si vous vous sentez l’âme d’un rédacteur et avez envie de commettre quelques posts sur Gaming since 198X, n’hésitez pas à candidater.
Celà fait maintenant quelques jours que je m’amuse sur FaceBook. Si certains détails comme la facheuse propension du site et de ses applis à vouloir spammer l’ensemble de mon carnet d’adresse / ma liste d’amis m’agace un peu, je suis bien obligé de reconnaître que le site est, dans l’ensemble, pas mal conçu, que les applis extérieures ajoutables au profil sont une bonne idée (même si la majorité d’entre elles sont complètement anecdotiques), que le design est assez agréable à l’oeil et que le tout n’est pas une usine à gaz plus proche de la fosse à purin que du site web (vous l’avez compris, je compare à Myspace, là).
Par contre s’il est un truc que j’ai un peu de mal à comprendre, c’est tout le buzz qui est fait autour. Okay, Facebook c’est rigolo, mais en quoi est-ce que c’est supposé casser trois pattes à un canard ? Des sites comme Orkut ou Friendster font déjà tout ça, depuis plus de trois ans. En bref, les hypeux et buzzeux ne sont finalement qu’un bête public de suiveurs qui pensent découvrir les réseaux sociaux mais ont simplement trois ans de retard. Il n’y a plus qu’à espérer que personne n’invite de brésiliens sur Facebook.
Quelques heures et un downgrade de Wine plus tard, je suis heureux. L’installation de l’Orange Box en elle-même est très simple. On insère le 1er DVD, on installe Steam, piece of cake.
Ensuite on lance Half-Life 2 et on croise les doigts très fort pour que ça rame pas trop. Flip: l’écran de présentation rame à donf. On lance le jeu et… ça plante. Deg de chez deg. J’étais sur le point de récupérer un vieux disque dur IDE et le mettre dans ma tour pour y installer un Windows mais je suis allé jeter un oeil sur l’appdb Wine: apparemment il y a un problème de régression dans les dernières versions, à savoir les 0.46 et 0.47. Je suis repassé en Wine 0.44 et j’ai relancé le jeu, inquiet.
Ça marche, et bien, très bien même. Quasiment tout à fond sauf les effets de flotte (je verrai quand je serai dans un coin où il y en a). FSAA x4 et filtre anisotropique x8, c’est fluide et c’est beau. Un pur bonheur. Probable que ça serait encore mieux sous Windows, mais ça me fait vraiment trop trop chier de me prendre la tête à ça pendant 3 plombes.
Ensuite, l’inquiétude: Team Fortress 2. Est-il plus gourmand que HL2 ? Si ça rame online, je suis foupoudav.
Aucun problème. J’ai même pu augmenter les détails par rapport à la config recommandée. Bref, l’Orange Box sous Wine, c’est du tout bon. Mangez-en !
Config de mon test: Athlon XP 2600+ à 1921 MHz / 2 Go RAM / GeForce 7800 GS / Linux Debian Sid / Drivers nVidia 100.14.19
Quand on découvre parmi ses keywords Google “analyse du suicide collectif” on commence à se poser des questions.
Attention, le post qui suit est 100% nerd.
Quand Jonathan Schwartz, CEO de Sun, explique que le nom de la société au NASDAQ va devenir JAVA au lieu de SUNW parce que le nom JAVA est bien plus connu des investisseurs et plus représentatif de ce que propose Sun à ses clients, ça donne ça en commentaires:
Et je sais, je suis un sale autiste, mais putain qu’est ce que ça me fait rire.