Sprite on my face
Quand Rue89 tente de dénoncer un buzz de la marque Sprite mais tombe dans le panneau en diffusant les vidéos, on commence par sourire en se disant que l’opération virale est un succès.
Mais quand en prime l’auteur de l’article tente maladroitement de s’ériger en donneur de leçons et en bon défenseur de la morale, là on a juste envie de mettre des claques. Le dénommé Publigeekaire a donc écrit la chose suivante:
Après visionnage, deux réflexions :
On dit souvent que le sexe fait vendre, mais à ce niveau de lubricité, ne fait-il pas aussi mal à l’image de la marque ?
Quid de l’image de la femme ?
Félicitations pour ce magnifique exemple de réflexion rétrograde émanant manifestement d’un esprit embrumé. Les deux pubs montrent un couple en pleins ébats amoureux, les deux pubs finissent par substituer tour à tour une bouteille de Sprite à l’un des protagonistes (une fois la femme, une fois l’homme), mais pour l’auteur de l’article seule l’image de la femme en souffrirait et en sortirait dégradée. Pour quelle raison ? Mystère et boule de geisha. Et là vient le coup de grâce:
Ils croient qu’ils ne vendent du Sprite qu’à des mecs ?
Mesdames, écoutez-donc notre ami, contentez-vous de regarder en boucle Twilight et de vous relire le dernier Guillaume Musso. La pornographie, c’est pas pour vous, c’est un truc de mecs, ceux qui se traînent déjà une image de pervers lubriques et qui ne risquent rien.