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You don’t win. You just do a little better each time.
Pas sûre de tout bien comprendre… par contre je sais une chose, ces gens ont encore de «beaux» jours devant eux, honte oui j’ai honte de nos lois
C’est n’importe quoi ! Vive la justice qui protège les pédophiles comme les voyous.
Belle justice en Suisse. Après on s’étonne qu’il y aie de la violence et des actes criminels. Faudra pas s’étonner quand qqun viendra violer vos enfants… de toute manière les pédophilent ne risquent presque rien. Justice de m****!!!
La police l’a pincé et tant mieux ! Par contre je ne comprends pas le TF ? On s’en fiche de la manière, les pédophiles sont des tordus et il faut les stopper de toutes les façons ! Honte à ces juges j’espère que leurs enfants ne tomberont jamais dans les pattes de ces sâles types !!
Parce qu’il est plus qu’urgent de militer pour la FERMETURE DES COMMENTAIRES SUR LES ARTICLES WEB DES JOURNAUX GRAND PUBLIC.
Entendu ce matin à la radio, au sujet de la naturalisation monégasque d’Alain Ducasse, une auditrice au téléphone: « En France de toute façon on aime pas les gens qui réussissent, on aime pas les gens riches ! Laissez-le donc faire ce qu’il veut de son argent ! Il l’a mérité, il a travaillé pour l’avoir, en plus il fait vivre des gens et il a créé des emplois ! Alors laissez-le donc un peu tranquille ! Mais de toute façon c’est la France ça, on aime pas les gens qui ont de l’argent ! »
Y’a quand même des gens qui vont jusqu’à téléphoner à une radio pour défendre une nouvelle évasion fiscale. La connerie humaine me dépasse.
Non mais là, arrive un moment où c’est plus possible: j’en pleure de rire.
Et hop, deuxième soirée gratuit gratuit gratuit aux frais de SFR, ce coup-ci j’avoue j’y vais sans trop savoir pourquoi on est invités. L’event Facebook dit “Soirée Foot : Les blogueuses affrontent les blogueurs !”, ma foi, j’imagine qu’on ne va quand même pas jouer au foot vu que ça se déroule à l’Étoile, club hype de la capitale s’il en est. En fait c’est une retransmission du match France-Italie qui nous est proposée, à la bonne heure, je n’aime toujours pas le foot, je parie donc sur une victoire de l’Italie. Je débarque dans le club et à vrai dire, j’ai un peu peur: je ne connais personne. Mais vraiment personne.
Je me dirige donc vers le bar fermement décidé à au moins profiter de ça, et tout d’un coup un visage connu s’approche de moi: un pote de prépa qui dorénavant bosse chez SFR et qui fait partie de l’orga. Nous devisons pendant quelques minutes, puis le devoir l’appelle et il prend congé. Là, je repère un visage un peu connu, celui d’Ulrich. Il est accompagné de gens dont le visage me dit quelque chose, mais le nom beaucoup moins, notamment Sébastien Foulard (désolé Seb). De mon côté, je m’amuse beaucoup des fréquents “Et sinon, tu as un blog ?” “Oui, depuis six ans.” parce que quasiment à chaque fois celà provoque chez l’interlocuteur une réaction étrange, presque de timidité, et de gène, de ne pas connaître ce dino barbu, le tout accompagné d’un regard fuyant. Bin heu les gens, c’est normal qu’on ne se connaisse pas, y’a pas de honte ou de gène à avoir, j’sais pas, je vous connais pas non plus, on ne blogue pas sur les mêmes sujets, on ne fréquente pas les mêmes gens, ça me paraît normal, je m’amuse à vous taquiner là quoi. En attendant eux ont l’air de bien se connaître et je me sens un peu perdu au sein de cette blogosphère à laquelle, définitivement, je semble ne pas appartenir. Malgré mes six bières, j’ai quand même pu discuter avec Ulrich et Seb de sujets intéressants, comme la dérive des posts sponso, le problème de la motivation première du blogueur, et puis de l’intérêt réel pour un annonceur d’organiser des soirées de ce genre. Je l’avoue, même si j’adore bouffer et boire gratos, je reste partagé quant au gain effectif pour l’annonceur de ce genre d’opérations de com. Puisqu’on en parle, la bouffe était sympa, entre petits fours expérimentaux et plat de riz/poulet basquaise – pâtes/crevettes, avec une préférence pour le riz.
On voit arriver, entre autres, Deedee (sans Kinder) et Romain Libeau (sans charte) ahahahahah, le match se déroule, je suis aux anges quand la France se prend le premier but (je suis quasiment le seul de la salle à être content, étrange), par contre deg quand on se prend le deuxième, vu que j’avais parié sur 1-0. A l’accueil, on nous avait distribué un badge avec notre pronostic, peut-être en vue d’un jeu ? Mystère, vu qu’après la rencontre tout le monde a commencé à se barrer et que nous n’avons jamais entendu parler d’une animation quelconque. Bref alors que la boîte commençait à se vider je discute avec une jeune demoiselle charmante qui travaille chez Orange mais qui tient aussi un blog dont j’ai malheureusement oublié le nom, ça c’est un échec retentissant, je pense que c’est mort pour l’inviter à boire un verre maintenant. Damn. On nous annonce que maintenant la boîte de nuit ouvre, mais que si on veut rester on a un tarif préférentiel: seulement 150 Euros la bouteille, ça c’est sympa. Je me sauve, donc. Bref cette soirée qui s’annonçait assez mal partie fut finalement plutôt intéressante, après tout rencontrer plein de nouvelles têtes c’est toujours enrichissant, et puis en plus même pas besoin de parler de ce que SFR essayait de nous vendre vu que j’ai pas vraiment vu ce que c’était, comme à peu près tout le monde d’ailleurs. Et puis voir la France se faire défoncer au foot c’est toujours priceless.
Ayant été désigné par Nacara (bin oui) et parce que ce meme est peut-être l’un des seuls que je trouve un peu intéressant, voici donc mes Seven Songs.
List seven songs you are into right now. No matter what the genre, whether they have words, or even if they’re not any good, but they must be songs you’re really enjoying now, shaping your spring. Post these instructions in your blog along with your 7 songs. Then tag 7 other people to see what they’re listening to.
The Beta Band – Needles in my eyes
Un mélange de mélancolie sans pathos et de paroles teintées d’espoir qui prend aux tripes. Les oiseaux chantent, le soleil se lève sur une nouvelle journée et tous les drames de la nuit seront bientôt oubliés. Je connaissais l’album Hot Shots II de The Beta Band, mais ce morceau présent sur The Three EPs m’a chamboulé.
Ladytron – Destroy everything you touch José González – Teardrop
Puisque Naque a déjà cité Ladytron… La voix m’a tout de suite semblé familière, puisque José González est invité sur le dernier album de Zero 7. Une cover de Massive Attack superbe, sans fioriture, donnant à ces fantastiques paroles une seconde renaissance via un arrangement acoustique sobre et classieux.
The Rolling Stones – You can’t always get what you want Tender Forever – Heartbroken forever
Ute ayant déjà choisi les Stones… (décidément, c’est un complot !) Avec juste ce qu’il faut de retenue, l’une des meilleures breakup+recovery song que je connaisse, des sonorités acidulées, des paroles tristes mais pas désespérées en contrepoint. C’était même la meilleure jusqu’à ce que j’entende…
Écouter cette chanson, c’est comme fermer les yeux en pensant à l’être aimé qui n’est désormais plus là. C’est comme regarder par la fenêtre pour voir les arbres pleurer, en écoutant la pluie heurter les carreaux. Et lorsque le refrain s’élève, c’est comme un éclair qui vient de plein fouet frapper ce tableau romantique pour y mettre le feu.
Cette cover de Nine Inch Nails par Johnny Cash est peut-être l’un des plus grandioses morceaux de toute sa carrière. La conviction de l’interprètation de Cash, le terrible sens des paroles et la puissance de l’arrangement de guitare donnent au titre une aura extraordinaire. Ce morceau me donne envie de pleurer à chaque fois que je l’écoute, et ça n’est pas pour rien.
Rage against the Machine – Calm like a bomb
Évidemment, à cause du concert du 4 juin, je réécoute pas mal ce genre de choses. Zach de la Rocha aurait déclaré que la musique de Rage n’a jamais été aussi actuelle. Et je suis pas loin d’être d’accord avec lui, les revendications des années 1990 ont toujours leur place, plus que jamais.
C’est sombre, c’est puissant, c’est juste jouissif. Lorsque les guitares se déchaînent, après une lente montée en puissance, une intro oppressante et sans concessions. Mon morceau préféré de Tool, à l’heure actuelle.
Et je refile le bébé à qui veut.